Pendant les vacances de Pâques, Fifaliana a organisé une classe de mer d'une semaine à Morondava pour les CM1. Pour presque tous les enfants, c'était la première fois qu'ils quittaient leur ville et passaient du temps loin de leurs parents. Mais la perspective de découvrir la mer, les baobabs et la vie de groupe a suffi pour que tout le monde passe une semaine inoubliable, loin de tous les problèmes du quotidien. Une semaine de rêve pour se reposer, découvrir son pays et devenir un peu plus autonome.
Photos
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Au total, ce sont 25 enfants et 5 accompagnateurs qui ont profité de la classe de mer.
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Les enfants étaient au départ impressionnés par la mer et se contentaient de barboter au bord de l'eau.
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Rapidement, ils ont commencé à jouer dans les vagues et ont voulu apprendre à nager.
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En visite à la célèbre allée des baobabs pour découvrir la flore du pays.
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Pour ceux qui se demandent, il faut en moyenne 12 enfants pour faire le tour d'un baobab adulte.
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Passer de bonnes vacances, c'est aussi bien manger. Viande, poisson, fruits, légumes... Un festin permanent comparé par rapport aux habitudes des enfants.
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Sortie en pirogue à l'embouchure de la Tsiribihina et de l'Océan Indien.
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Une fois dans l'eau, difficile de faire sortir les enfants. Même quand la nuit s'apprête à tomber.
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Jouer avec le sable fin, un classique de la plage.
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Pour nous, pas de château de sable, mais des terrains de foot miniatures.
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Pas de devoir, pas de tâche domestique... Juste à profiter. Un retour à l'innocence et la sérénité.
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Les enfants ont été particulièrement étonnés par le phénomène des marées.
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Pour occuper les temps calmes, jeux de société et sieste.
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La pétanque est un sport incontournable à Madagascar.
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Ces vacances sont aussi une récompense pour l'équipe pédagogique qui travaille tout au long de l'année.
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Mer, baobab, vacances, crabe, noix de coco... Autant de mots que les enfants avaient déjà entendus mais qui restaient des idées abstraites jusque-là.
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Après l'effort, le réconfort. En sortant de l'eau, une bonne glace pour se requinquer.
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Les enfants ne voulaient pas rentrer : "On a 2 semaines de vacances ! Pourquoi on ne reste ici qu'une semaine ?".